Pour Rumes, la première occupation visible vient d'être revisitée , il y a quelques années la plus ancienne occupation visible était celle des troupes de Claude premier de 45 à 54 après Jc, mais de récentes trouvailles nous fait remonter a Marc Antoine , soit presque 100ans avant les anciennes estimations, ces indices sont des monnaies frappée par l'atelier itinérant des légions de Marc Antoine , et une monnaie d'argent de Fluvia (la 3eme femme a Marc Antoine) fut trouvée également. ces dernières trouvailles font remonter l'origine Romaine de Rumes a 46 ou 47 avant JC  (une autre de Jules cesar fut également trouvée en 2016 ce qui nous mêne a l'année - 49 av jc)

cette monnaie la particularité de faire pour la première fois apparaître le portrait d'une femme de son vivant dans la numismatique romaine (Fulvia femme de Marc-Antoine est représentée sous les traits de la Victoire ailée).

La présence du lion serait à mettre en relation avec le goût de Marc-Antoine pour ces animaux car, tel la divinité Cybèle rapportée au Panthéon romain, il semble avoir fait dresser des lions pour traîner son char lors de triomphes (on peut voir que le personnage portait un intérêt à l'orient et cultivait un goût certain de la mise en scène et de la mégalomanie).

c'est vers 47 ou 46 avant J.C., que Fulvie se marie avec Marcus Antonius Marci Filius Marci Nepos (Marc Antoine). Mais si l'on en croit Cicéron, leur relation aurait débuté plusieurs années auparavant, alors que Fulvia était encore l'épouse de Clodius Pulcher. Il suggère également que le futur triumvir l'aurait épousée pour son argent... Pourtant, le fait est que, pour elle, Marc Antoine quitte sa maîtresse, l'actrice Cytheris, qu'il fréquentait depuis longtemps. A cette époque, Antoine est déjà un homme politique établi : il est l'homme de confiance de César, qui l'a nommé son Maître de Cavalerie, il a déjà été tribun de la plèbe, et c'est un militaire aguerri et réputé, adoré par ses hommes et dont la vaillance n'est plus à prouver. Ce mariage scelle l'union de deux forces politiques majeures, pouvant compter sur l'appui d'une partie de l'armée, du peuple, sur les fameux hommes de Clodius et, qui plus est, sur l'argent légué par Curion... Ensemble, Antoine et Fulvia auront deux fils : Marcus Antonius Antyllus et Iullus Antonius. Après l'assassinat de César, Marc Antoine devient l'homme le plus puissant de Rome. En 42 avant J.C., Antoine et Octave ayant quitté Rome pour poursuivre les assassins de César jusqu'en Asie, Fulvia dirige pratiquement Rome en sous-main.la monnaie de Fluvia trouvée a Rumes date de cette période (42 av JC)

Pour plus d'infos sur Fluvia ; Cliquez ici

Avant la bataille décisive d'Actium (31 av JC) , Marc-Antoine émit un type monétaire particulier pour payer les légionnaires de vingt-trois légions.  . L'avers présente  un bel exemple de navire de guerre romain: on distingue clairement la poupe décorée de son "aplustrum"; la proue hérissée de son rostre et ornée de son "acrostolium"; le petit mât d'avant avec sa bannière (dolon); le gouvernail à l'arrière; le banc de rameurs... ce type de monnayage se retrouve également a Rumes. ces monnaies furent frappées en 32 av JC.


(Monnaie Légionnaire de Marc Antoine frappée en 32 Av JC)



Monnaie d'argent de Jules César datée de 49 avant Jc trouvée également a Rumes (Collection de l'auteur)


Lucius Egnatuleius, questeur en 44 av jc .
commandant de la quatrième légion ,celui ci a déserté
de Marcus Antonius à Octavien . En récompense de cela Cicéron la proposé au sénat alors qu'il ne pouvait y entrer et occuper des fonctions publiques trois ans avant l'heure légale (quinaire , collection de l'auteur)


Presque 100ans aprés cela les troupes de Claude 1er vers 45 aprés JC vinrent s'installer, et plus tard fonder famille dans la région. Ces monnaies "Claudiennes" retrouvées très usées et l'absence de numéraire entre Claude et Trajan, me permet de dire que ces monnaies étaient encore en circulation au moins jusque la fin du règne de Trajan soit l'année 117 de notre ère . Cette absence de numéraire m'a fait penser qu'aucune relève de troupes ne s'effectua pendant prés de 63 ans. Le règne d'Antonin le pieux est particulièrement bien représenté à Rumes, un grand nombre de sesterces furent trouvées fortuitement dans les champs, malheureusement ces monnaies alliées à l'étain très peu ont résisté aux attaques acides des engrais. il est a noter que des monnaies plus anciennes furent trouvées à Rumes, Quadrans de Cesar, Denier de Marc Antoine, Aes de Nîmes, de Lyon... Nous pouvons donc affirmer que le commerce avec les Romains etait deja installé avant l'arrivée des troupes de Claude en 45 aprés JC.

        En 266 sous Postumus les raids des "Chauques" (tribu germanique) arrivèrent sur la côte et emprunteront l'Escaut jusque Tournai, la ville fut détruite et pillée, les villages de proximités furent également attaqués par ces pirates. Ce fut la cause de nombreux enfouissements de trésors, l'empire Romain fut confronté à une grosse crise économique dûe aux pillages successifs des barbares, la monnaie commença à dévaluer de plus en plus, c'est le commencement de la décadence Romaine.

        Sous Constantin nos villages vont connaître une période de prospérité matérielle et culturelle, c'est à cette période que date les grandes villas de la région, Tournai était devenu un grand centre culturel, et les villages alentours connurent à nouveau la possibilité de s'enrichir, Rumes était spécialisé dans la confection de vêtements, de tapisseries, de nombreux pesons de métier à tisser le prouve, sa poterie fut également vendue à Tournai et dans les environs.

        En 313 l'édit de Milan proclama la liberté des cultes, et par cet acte donna un essor nouveau à cette nouvelle vague qu'était le Christianisme. Ce fut l'époque de construction de temples gigantesques, tous paléochrétiens. à Dieu unique, c'est le début du Christianisme chez nous, mais il faudra attendre le 8ème ou 9ème siécle pour que celui ci soit généralisé.

10 ateliers différents furent trouvés sur les monnaies trouvées sur le triangle de Rumes, Blandain, Cysoing, cette diversité de frappes nous montre directement le courent des passages et des installations.

        Rumes, situé sur la voie Romaine Tournai Arras, fut privilégié, de nombreuses villas furent découvertes par les prospecteurs et Historiens, sur ce village nous retrouvons des monnaies frappée a Rome, Nicodémie, Siscia, constantinople, Tessalonique, Antioche, Trèves, Aquillée, Lyon et Eraclée, soit des monnaies ayant été frappées dans toutes l'Europe. Pour Cysoing, se trouvant elle aussi sur le tracé d'une chaussée Romaine, ne compte qu'un nombre limité de frappes d'ateliers, ceux ci sont : Rome, Aquilée, constantinople,Trèves, et siscia.

        Nous savons que Rumes était déjà à cette époque connue pour son commerce de poteries et de tissus, comme Taintignies et Howardries, Rumes à sus profiter des courant commerciaux de l'époque tandis que Cysoing déjà plus éloignée de ces grands centres fut laissé un peu a l'écart, Pour Blandain le problème est tout autre, seulement trois ateliers fut repérés sur les trouvailles monétaires.

        Blandain, petite bourgade prés de Tournai, mais aussi de Rumes et Cysoing, établi sur le Diverticulum allant de Tournai à Lille, vu sa situation privilégiée les ateliers devrait etre nombreux, mais le cas est contraire seul des monnaies de Trèves, constantinople et Thessalonique furent trouvées...échanges commerciaux entre ces trois villes? ou encore des légionnaires venant de ces villes ? non cela ne tient pas trop la route, mais je pense plutôt a un avant poste militaire ou une petite garnison affectée à la protection des frontières et de la ville de Tournai, ces monnaies trouvées viennent de grands ateliers, en particulier Trèves qui était l'atelier principal qui fournissait les soldes aux militaires et ce, vers l'époque constantinienne.
 

Les ateliers Monétaires Antiques 

        Le numismate ou le chercheur ne porte pas seulement son attention, sur la beauté de la monnaie collectée ou du type trouvé, il pourra chercher a s'intéresser sur l'endroit ou celle ci fut frappée, les événements qui furent liés a cette frappe...et découvrir l'évolution de cette monnaie au fil des frappes. Les monnaies Romaines sont particulièrement intéressantes par leur diversités tant iconographique que par le nombre d'Empereurs qui se sont succèdes et les divers ateliers et leur codes variables, de mémoire de prosecteur, et de collectionneur je n'ai jamais trouvé deux monnaies Romaine identiques, il y a toujours un détail qui diffère, une lettre, un point, une allégorie, le visage de l'Empereur...soit, un Bouillon de détails différents, la chose que je regarde en premier sur une monnaie d'un Empereur Romain, c'est l'atelier de frappe, celui ci peu nous donner de grandes informations sur les courants, monétaires de l'époque dans une région et aussi un peu d'exotisme .

Le premier Empereur Romain ayant signalé l'atelier de frappe sur ses monnaies fut L'Empereur Aurèlien (270 à 275) et cette mode fut suivie pas ses successeurs, ls signes d'ateliers (pour les monnaies Romaine et Byzantines ) se retrouvent a l'exergue de la monnaie, sous l'allégorie ou dés foi dans le champ (de la monnaie) :o) ces ensembles de lettres sont souvent déconcertantes pour nombre de numismates ou de prospecteurs n'ayant que des bases limitées en numismatique Romaine.

 
(Ici ne monnaie Byzantine en or retrouvée à Rumes).

des monnaies Byzantines similaires furent trouvées dans le tombeau de Childeric (celle ci est un peu plus tardive)

Evolution de l'Empire Romain    

Le dernier siècle de la République est une période d'anarchie totale.  Après la mort de César et d'ultimes convulsions politiques, Octave rétablit l'ordre et fonde le régime impérial.  Ses successeurs (les Julio-Ciaudiens) sont des personnages de moindre envergure mais l'empire connaît la stabilité et Claude parvient même à l'agrandir (conquête de la Bretagne). À la mort de Néron éclate une première crise de succession : trois empereurs (Galba, Othon, Vitellius) règne,,nt tour à tour pendant l'année 69.

Le calme revient avec les Flaviens (Vespasien, Titus, Domitien), auxquels on doit notamment le Colisée et l'arc de Titus, qui célèbre la victoire de cet empereur sur les Juifs révoltés.

Le 1er siècle - l'époque des Antonins - est considéré comme l'âge d'or de l'Empire.  Trajan achève les conquêtes en occupant la Dacie.  Rome, l'Italie, les provinces bénéficient de la Pax Romana.
 

L'Église chrétienne se fortifie et, si des persécutions se produisent çà et là (martyrs de Lyon en 177), le pouvoir politique se montre dans l'ensemble assez tolérant à l'égard de la nouvelle religion.
 

(Monnaie d'Antonin le pieux)

La situation se gâte à partir du règne de Marc-Aurèle (161-180), La menace barbare devient inquiétante : l'empereur philosophe doit mener constamment des guerres défensives. À ce péril extérieur s'ajoutent de graves problèmes internes.  L'élection du souverain est pratiquement laissée aux armées qui veulent chacune imposer leur candidat : en 193, Septime-Sévère est proclamé empereur par les légions du Danube tandis que les troupes stationnées en Syrie acclament Pescennius Niger. Certaines provinces font sécession.  Pendant 15 ans (258-273), les Gaules forment un empire indépendant de Rome.   Un phénomène comparable se produit au même moment à Palmyre, en Orient.  Des deux côtés, les dissidents rendent d'ailleurs de grands services à Rome en repoussant les Barbares. En 286, Dioclétien se choisit un collègue, Maximien; en 293, les deux Augustes prennent un adjoint (César) qui est aussi le successeur désigné.  Le système de la Tétrarchie annonce la future division de l'Empire. Dioclétien est responsable d'une des grandes persécutions qui frappent les Chrétiens (302-304) : les églises sont fermées, les livres saints confisqués, tout le monde doit sacrifier aux dieux de l'Empire.

Constantin rétablit les Chrétiens dans leurs droits et leur accorde la liberté de pratiquer leur culte (« Édit de Milan >, 313).  Il refait provisoirement l'unité de l'Empire en se débarrassant de Licinius (324).

(Monnaies de Constantin)

En 379, l'espagnol Théodose est proclamé Auguste par Gratien qui lui confie l'Orient.  A partir de 383, Théodose gouverne en pratique la totalité de l'Empire.  Il condamne le paganisme, interdit les sacrifices, fait fermer les temples. À sa mort en 395, il laisse deux enfants.  Sous la tutelle de Stilicon, Arcadius règne en Orient, Honorius en Occident.  Les deux parties de l'Empire vont dès lors connaître des destinées distinctes : l'empire d'Occident disparaît en 476.
 

Trésor d'Antoniniens trouvé à Howardries en 1952

        Le dépôt monétaire trouvé par Mr Suterland à Howardries comprenait 242 monnaies romaines contenue dans un vase en céramique grise. Il s'agissait d'un trésor d'antoniniani dont la plus ancienne monnaie remonte au règne d'Elagabale et le plus récent sous celui de Postume. Les antoniniens sont, on le sait, des monnaies qui se distinguent des deniers par l'effigie impériale à la couronne radiée , le buste drapé du Paludamentum et cuirassée, ce qui décèle un caractère militaire de ce monnayage. Cette monnaie fut instaurée par Carcalla pour payer la solde des troupes.

        L'ensemble du dépot comporte 242 antoniniens dont les plus anciens sont trés usés et quatre d'entre eux illisibles . Ce dépôt comprend une monnaie d'Elagabale, 5 de Gordien III, 6 de Philippe père, 2 d'otacilie, 1 de Philippe fils, 2 de trébonnien Galle, 3 de Volusien, 11 de valérien II,  20 de Gallien, 8 de Salonine, 8 de Valérien II, 3 de Salonin et 172 de Postume.




        Si nous exceptons l'antininien d'Elagabale d'un poids exeptionnel (5,05 g) et de titre élevé, l'ensemble monétaires de Howardries fut frappé en moins de 25 ans durant la période d'inflation de 239 à 263. On peut suivre en comparent les poids, toutes l'évolution des antoniniens de cette époque depuis Gordien III, qui déjà avait réduit le titre et ne le maintint qu'a Antioche. Poids et titres se relevèrent au début du règne de Philippe, puis s'affaiblissent après 248. Sous trébonien et Volusien, l'affaiblissement du titre et du poids s'accuse surtout dans les émissions Romaines, mais les titres et poids se maintiennent dans les ateliers provinciaux créés pour le payement des troupes.

        Cette même divergence entre les monnaies frappées à Rome et les monnaies destinées à l'armée et frappées en province continue à s'accentuer sous Valèrien et Gallien. Alors qu'une monnaie frappée à Milan pa Gallien bien qu'usée, pèse encore 4 grammes, et que celle frappée par Valèrien à Viminacum pèse 4,30 grammes, les antoniniens émis à Rome entre 257 et 259 s'altèrent au point que leur module diminue (18,5mm pour Gallien) alors que les précédentes atteignent 20 à 21mm.
 

La crise du III eme siècle

       Le milieu du IIIeme siècle ap. J.-C. est une période particulièrement dure pour l'Empire romain. Aux assauts des barbares, a l'instabilité du pouvoir central s'ajoutent les ravages d'une peste qui sévit pendant une vingtaine d'années (250-270 ap.J.-C.). Les invasions entraînent d'abord des pertes territoriales.  La Dacie, par exemple, conquise par Trajan, est abandonnée par Aurélien dans les nées 270.  Mais ces pertes sont, au total, assez minces.  La dépopulation de l'empire est une conséquence plus sérieuse.  A la fin du Ille siècle, on manque d'hommes : certains empereurs traitent avec les Barbares, les installent sur des terres abandonnées ou les introduisent dans s rangs de l'armée. les régions touchées par les invasions sont évidemment appauvries  les inscriptions célébrant la générosité de tel ou tel bienfaiteur se raréfient, l' insécurité est générale, sur terre comme sur mer,.On craint non seulement les Barbares mais aussi les brigands et les pirates. Le commerce est ralenti et on tend à vivre en économie fermée. La monnaie perd de sa valeur : le poids des pièces et leur teneur en métal fin diminuent sans cesse.  Il en résulte une hausse des prix insupportable. l'Etat lui-même est victime de cette situation : à partir de Dioclétien, il exige qu'une partie des impôts lui soit versée en nature.  Un redressement monétaire s'observe à partir d'Aurélien (270-275 ap.  J.-C.) qui fait frapper des monnaies de meilleure qualité.  Cette politique est poursuivie par Dioclétien, lequel s'attaque aussi à la hausse du coût de la vie. En 301, un édit fixe un prix maximum pour une série de marchandises et de services et plafonne les salaires. La crise économique du IIIeme siècle ne frappe pas tout le monde de la même façon.  Alors que beaucoup de petits paysans sont ruinés à cause des dévaluations successives ,les gros propriétaires profitent plutôt de la situation et étendent leurs domaines dans des proportions parfois considérables.
 

(Monnaie de constantin avec la louve allaitant les Jumeaux Romulus et Rémus fondateurs de Rome.)

Occupation au bas Empire

        Rumes, Blandain, Cysoing restent des exceptions, car la plupart des villages furent désertés à cette période troublée qu'était le bas Empire, les nombreuses invasions et raids Barbares poussèrent les villageois à se réfugir dans ls villes fortifiés, celles ci étaient généralement munis de garnisons Romaines associées à des milices indigènes. Les recherches faites sur les villages de Rumes, Blandain, Cysoing nous apprennent que ceci n'était pas une généralité, en effet de nombreuses monnaies du bas Empire furent retrouvés dans ces villages. A Rumes, quelques villa ou Aedificia ne furent pas désertées et le commerce perdura grâce au commerce et à la fabrication de poteries et de textiles, à Blandain, c'est certainement la cause de la proximité d'une petite garnison de protection de la ville de Tournai, que certains villageois restèrent dans ce village jusque l'arrivée des Francs, la population de Cysoing resta également sur place, certainement à cause du commerce et de la proximité du vicus de Bouvines, qui prospérait à cette époque, ce vicus resta en place et s'adapta c'est l'arrivée des Mérovingiens..., ces villages rentèrent dons prospères à l'instar des autres se trouvant à proximités, comme bachy et Bourghelles qui semblent avoirs été désertés à cette période, la même chose pour Wannehain, ou l'on ne retrouve plus d'occupations à partir du 2ème siècle. Taintignies, et Howardries tellement riches et prospères par leurs poteries vers le 1er et 2ème siècle se transforment en un "No mans land" antique dés la fin de la Pax-Romana. De nombreux trésors y furent enfouis sous "Postumus" et "Galliènus" ceux ci nous renseignent de ce climat d'insécurité du aux invasions, plus de cinq trésors furent trouvés lors de travaux de déboisement, malheureusement, ceux-ci furent partagés être les bâcherons sans aucun relevés, seul le "trésor de Howardries"découvert par Ms sutherland st le seul à avoir été publié dans son intégralité, d'autres furent également trouvés, comme à Rumes ce petit trésor de 40 monnaies de la série animalière de Gallien et sa femme Salonine, remonté par un taupe pour se retrouvés éparpillé sur son monticule...

Stephane.B